Aux Etats-Unis, où la vaccination contre les papillomavirus humains (HPV) est recommandée depuis 2006, la prévalence dans les frottis cervico-vaginaux des quatre types de virus ciblés par le vaccin a déjà diminué de 64% chez les filles de 14 à 19 ans.
Celle-ci est passée de 11,5 % à 4,3% entre l'ère prévaccinale (2003-2006) et la période 2009-2012.
La baisse a été de 34% chez les 20-24 ans, selon cette étude.
Pour les experts, les résultats sont d'autant plus inespérés que le taux de couverture vaccinale n'est que de 40% chez les jeunes Américaines.
« Ce vaccin est plus efficace que prévu », indique une spécialiste au New York Times, précisant que quand les adolescents vaccinés deviennent sexuellement actifs, « ils protègent également
des personnes non vaccinées ».
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